Alimentation et Maladie d’Alzheimer:
au delà d’une fatalité génétique
Les gens ont tendance à voir la maladie d’Alzheimer comme une fatalité génétique. Mais l’alimentation jouerait-elle aussi un rôle sur la maladie d’Alzheimer? Tant dans son développement que dans la prévention ou même l’après diagnostique?
La maladie d’Alzheimer est la première cause de démence, qui elle, est la troisième cause de mortalité en France en 2019. Au Japon également, le pourcentage annuel de nouveaux cas augmente à une vitesse alarmante chaque décennie. Pour autant, le même phénomène ne se produit pas au Nigeria qui a le plus haut taux du gêne ApoE4 (lié à Alzheimer) mais le moins de cas de personnes atteintes par cette maladie. Pourquoi?
Même si la science ne peut pas encore clamer la découverte d’une cure pour cette démence, nous savons aujourd’hui que l’alimentation et les changements de style de vie peuvent potentiellement éviter des millions de cas par an. Il y a un consensus émergent sur le principe que “ce qui est bon pour notre cœur est également bon pour notre tête”, car l’obstruction des artères dans notre cerveau par la plaque d’athérosclérose est suspect de jouer un rôle pivot dans le développement de la maladie d’Alzheimer.
Quels sont les facteurs liés au style de vie et les mécanismes derrière la maladie d’Alzheimer? Quel impact peut avoir l’alimentation? Que dit la plus récente recherche scientifique à ce propos? Que peut-on faire en prévention ou lorsque l’on a déjà été diagnostiqué? Dans cet atelier, nous allons répondre à toutes ces questions.
Cet atelier sera remplacé par la série Santé cérébrale : comment prévenir le déclin cognitif, qui vous trouverez listée dans les programmes Manger pour Vivre.
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